Les utilisateurs ne cliquaient pas plus dessus que sur les autres résultats de recherche et cela semblait plus perturber leur attention qu’autre chose.
C’est mauvais signe pour le réseau social Google Plus qui bénéficiait là d’un argument de vente auprès des médias. Avec l’Authorship, beaucoup de journalistes ont été invités à créer un compte Google Plus, dans l’hypothèse que cela favorisait le référencement de leurs articles par Google et le trafic via l’Authorship.
En réalité, les spécialistes du référencement n’ont pas constaté de lien entre l’ouverture d’un compte Google Plus, l'insertion de la balise 'rel=author' et le positionnement des articles de leur auteur. Pas plus qu’il n’existe officiellement d’author-rank (c’est à dire un critère de classement selon l’autorité de l’auteur). Ceci dit, ce n’est pas la fin du personal branding des producteurs de contenus ! La popularité des auteurs sur Twitter, Facebook ou Linkedin joue beaucoup dans les partages et le trafic généré. Deux critères qui comptent beaucoup pour Google, comme gage de qualité.
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