C’est même grâce au native advertising que le patron de Forbes prétend avoir sauvé ce magazine de la faillite. Autant de raisons qui ont poussé les Assises du journalisme 2014 à organiser une conférence autour de ce sujet : “Espoirs et craintes du brand content”.
Les différents participants, finalement assez d’accord, ont surtout détaillé les conditions de production d’un contenu de marque déontologiquement acceptable. Transparence vis à vis du lecteur, honnêteté et véracité des propos… Une bonne part de la difficulté tient finalement au "process" et à la possibilité pour la rédaction de rejeter un contenu.
Justement le point le plus délicat, à une époque où les médias, en difficulté économique, ont une marge de manoeuvre de plus en plus limitée vis à vis des annonceurs.