Six livres, c’est justement le prix de l’abonnement hebdomadaire à la version papier de The Times : pas de réduction liée à la dématérialisation, mais un service en plus pour toucher la jeune génération.
A noter que la version papier plus web ne coûte que 8 livres (près de 10 euros). Ce n’est plus le web que l’on brade avec l’imprimé, mais bien le contraire.
Ce genre d’association cherche à réintroduire un nouveau service à valeur ajoutée et une motivation d’achat supplémentaire pour le lecteur. Une forme de diversification pas idiote pour compenser la fin de l’exclusivité des services offerts par la presse et qui motivait fortement l’achat des lecteurs : petites annonces, météo, programme tv etc.
Reste que les deux univers sont très éloignés en termes de cibles. L’opération ressemble plus à une offre marketing “découverte” pour amener les jeunes actifs à s’intéresser à la “vieille presse”. A suivre…
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