Combien de temps pour lire le texte que vous avez écrit ? La question se pose de plus en plus au moment où nos productions sont en concurrence avec des nuées d'autres contenus sur les écrans multifonctions de nos téléphone, tablettes ou ordinateurs. Voici un outil qui vous permet de vous faire une idée du temps de lecture (et il tient également le compte du nombre de caractères ou du nombre de mots de votre texte). Pour info, il indique que ce texte que je viens de rédiger vous prendra 23 secondes à lire.
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intro;
Apparemment, toute guerre est chaos, désordre incompréhensible. Essentiellement, la guerre est ordre, calcul. La théorie de la guerre permet de retrouver, sous l’apparence du désordre, la vérité de l’ordre qui éclaire l’origine et le cours d’une guerre, ainsi que le désordre dans lequel elle se manifeste.
tt guerre trai commun elle peut être éclairée sous trois angles : politique (pourquoi combat-on ?), stratégique (comment combat-on ?), social (qui combat ?). Dans toute guerre se retrouvent ces trois aspects. Clausewitz Toute guerre a un commencement et une fin :
parti une: => « La guerre n’est donc point une relation d’homme à homme, mais une relation d’État à État »
dans ce texte Rousseau parle d’une notion qui lui est propre: l’état de nautre= un état ( avec un petit e ) fictionelle dans lequel pour aquierr une plsu grande sécurité chacun va remettre une part de sa liberté dans les mains du souverains, la souveraineté est essentiellement celle du peuple, c’est de lui par exemple qu’émane les lois de la société nouvellement construite.
Hobbes qualifie cet état de nature comme la guerre de tous contre tous. MALGRÉ LES APPARENCES CELA N’ENTRE APS EN contradiction avec l’idée de Rousseau selon lequel la guerre n’est pas une relation d’homme à homme. En effet une guerre suppose un ennemi établi nous ne pouvons donc pas être seul contre ce « tous » qui serait notre ennemi, on ne peut pas être en guerre contre l’humanité entière. Ainsi « les hommes ne sont pas naturellement ( comprendre à l’état de nature) ennemi », ainsi « C’est le rapport des choses et non des hommes qui constitue la guerre »=> les relation personnel d’homme à homme ne peuvent être l’origine d’un état de guerre. La guerre d’homme à homme ( guerre privé ) ’est pour lui le produit de « l’abus du système féodal » dans lequel Louis IX a légiféré dans le domaine des guerres privés , peuvent de leur institutionalisation. par là il veut dire que dans l’état de nature comme on vient de le voir, comme la propriété n’est pas établie, les lois n’existe pas puisqu’il s’ait d’une sorte d’anarchie sans lois ni droit on ne peut donc pas avoir d’ennemi désigné puisque l’individus regne, tous est l’ennemi de tous. Et de l’autre coté dans l’etat social insitué par l’Etat tt est sous l’autorité des lois donc pour régler les conflits privés, d’homme à homme on se réfère à la lois et non à la guerre. C’est pourquoi les guerres privés ne peuvent exister que dans cet entre-deux qu’est le système féodal ou le droit ne s’applique pas partout d cela met manière, ou les duels font offices de tribunaux. Dans ce cas on se bas d’homme à homme mais cela est selon lui « un système absurde contraire aux principes du droit naturel et à toute bonne politie » (selon Aristote la forme droite du gouvernement du grand nombre). La guerre, s’il est émane d’un rapport entre homme est contraire au droit naturelle et au bon gouvernement.
C’est pourquoi Il va établir que « La guerre n’est donc point une relation d’homme à homme, mais une relation d’État à État »=> poru Rousseua « la find e la guerre c’ets al destruction de l’esta énnemi » => il n’opposemais aussi ne détruit rien d’autre que des états . la guerre c’est pas le simple usage de la force c’estruction de l’ennemi. A cet argument que ce sont des état qui s’oppose on peut rétorquer que sur les terrains se sont bien des hommes qui sont opposés ! Ainsi Clauswitz parmis les nombreuses chose qu’il démontre sur al guerre évoque le fait que l’affrontement entre homme est prouvé par la montée des extremes: toujours plus de violence: petit a petit en réponse à l’autre; pas armes nucléaire si l’autre envoyé drone de reco. guerre = série d’interaction => essence de la guerre ne peut être que désir humain. Rousseua aurait surement répondu que si les hommes sont opposés sur le terrain c’est parce qu’il s constituent la cité, l’Etat, souvenez vous c’est du peuple qu’émane le souverian, le Levianthan de Hobbes est reporesneté comme un homme dont le corps est composé de l’ensemble uni des citoyen, ainsi les soldats à la fois se battent comme l’exige al guerre pour défendre leur état mais quand cette dernière est finis ils retrouve les leurs trève, permanance => montre bien que combattent au nom de l’Etat et pas en leur nom.
La guerre est bien une relation d’Etat à Etat. on voit ainsi naitre l’idée selon laquelle la Guerre nait véritablement avec l’Etat, elle est essentiellement étatique. Pour aller plus loin on peut citer la notion de guerre juste. Pour thomas D’aquin elle repose sur 3 principes dont celui de auctoritas principis : la guerre ne peut relever que de la puissance publique sinon elle est un crime. L’auctoritas principis s’oppose à la décision individuelle appelée persona privata.
C’est pourquoi on détruit l’état et rien d’autre que l’état il existe d’ailleurs des codes de la guerre sur lesquels s’entendent les Etats énnemis: comme ne pas tuer des civils, le soldat est considérer comme ennemi à détruire tant qu’il a les armes à la main mais une fois guerre fini il n’est plsu un ennemi. Distinction individus au service de l’Etat qui en sont les représentant et donc qu’il faut détruire et les civils qui se font pas parti de la guerre. « Même en pleine guerre un prince juste s’empare bien en pays ennemi de tout ce qui appartient au public, mais il respecte la personne et les biens des particuliers; »;
à l’encontre de la croyance de la guerre comme cahos, pour Rousseua la guerre et la loi entretiennent des relations de proximitéité « il ( l’Etat en geurre) respecte des droits sur lesquels sont fondés les siens » Ainsi par exemple « L’étranger, soit roi, soit particulier, soit peuple, qui vole, tue ou détient les sujets sans déclarer la guerre au prince, n’est pas un ennemi, c’est un brigand » ces principes « dérivent de la nature des choses, et sont fondés sur la raison. » cf note Romains
exemple des Romains qui « ont mieux entendu et plsu respectés les droits de la guerre que n’importe quelle autre nation au monde » cf je vous laisse le soin de lire l’histoire entre Caton et Popullius.
transition: => La guerre loin d’être une chaos sans nom est donc bien régit par le droit, il s’agit d’une relation d’Etat entre Etat et non pas d’homme à homme. Mais alors s’il s’agit de détruire l’Etat mais pas le sujet, le droit d’escaleage qui dans la coutume donne le droit au vainqueur d’alièner un prisonnier de l’Etat adverse après la fin de la guerre est-il toujours légitime ?
C’est ainsi que nous glissons vers la seconde réflexion principale de ce texte à savor al régitimité du droit d’escaleage.
Au début de son texte, Rousseau expose le raisonnement de Goritus Grotius et les autres tirent de la guerre une autre origine du prétendu droit d’esclavage. Le vainqueur ayant, selon eux, le droit de tuer le vaincu, celui-ci peut racheter sa vie aux dépens de sa liberté » Cela suppose une vision de la guerre comme relation personnel, les vainqueurs ont un droit personnel sur la vie des sujets composant l’Etat. il ont se fameux « droit de tuer ». Ainsi l’esclavage apparait comme une sorte de contrat entre le vainqueur et el vaincu: le vainqueur accorde au vaincu la vie en encage de sa liberté . Il ajoutera meme « convention d’autant plus légitime qu’elle tourne au profit de tous deux ».
Mais a partir du moment ou l’on considère, comme Rousseau, que l’ennemi c’est l’Etat une fois la paix revenu, les individus dans el camps des vaincus ne sont plus des ennemis à abattre ! « on peut parfois meme détruire un état sans tuer un seule de ses membres ». Le droit de tuer est légitime uniquement lorsque l’état de guerre est déclaré. « La fin de la guerre étant la destruction de l’État ennemi, on a droit d’en tuer les défenseurs tant qu’ils ont les armes à la main; mais sitôt qu’ils les posent et se rendent, cessant d’être ennemis ou instruments de l’ennemi, ils redeviennent simplement hommes et l’on n’a plus de droit sur leur vie. » petite à petit de l’illégitimitéimité du droit de tuer va suivre l’illégitimité de l’esclavage. En effet le président droit d’esclavage repose sur le droit de tuer mais si ce dernier est remis en question c’est le doigt d’esclavage lui meme qui d’effondre ! « Si la guerre ne donne point au vainqueur le droit de massacrer les peuples vaincus, ce droit qu’il n’a pas ne peut fonder celui de les asservir » ainsi mme en supposant la légitimité de se droit de tuer comme le fera Rousseua, il ya l’idée que cette convention « loin de détruire l’état de guerre, en suppose la continuité. » puisqu’elle se fonde sur un droit, celui de tuer l’ennemi, qui s’applique qu’en temps de guerre et qui est nul en temps de paix.
L’esclavage n’ets pas un contrat, un rechange puisque l’un a rien l’autre à tout. l’échange est injuste puisque le maitre reçoit tt: s’il détient la liberté d’un individus cela signifie que l’esclave n’a plus rien à lui opposer, c’est l’aservissement, la soumission la plus complète qui soit, et l’esclave donne tout « Il n’y a nul dédommagement possible pour quiconque renonce à tout. »en donnant sa liberté. « c’est donc un échange inique de lui faire acheter au prix de sa liberté sa vie sur laquelle on n’a aucun droit. » et surtout ce n’est pa sun échange puisque « En prenant un équivalent à sa vie le vainqueur ne lui en a point fait grâce : au lieu de le tuer sans fruit il l’a tué utilement. »
Plus hahaut dans le début du chapitre quatre juste avant l’extrait à comenter; Rousseu sou indique qu’on ne peut renoncer à s liberté puisque cette dernière est inaliénable:
« Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, aux droits de l’humanité, même à ses devoirs. Une telle renonciation est incompatible avec la nature de l’homme. » qui ne peut être aliéné, cédé, enlevé, ce qui est intangible. En droit, un bien inaliénable est un bien qui ne peut être cédé ou vendu.
Mais c’est donc aussi un ehcnage nul au yeux du droit puisque la liberté est inaliénable, « Ainsi, de quelque sens qu’on envisage les choses, le droit d’esclave est nul, non seulement parce qu’il est illégitime, mais parce qu’il est absurde et ne signifie rien. Ces mots, esclavage et droit, sont contradictoires; ils s’excluent mutuellement. » cette convention est incohérente dans ses fondemtns: Je fais avec toi une convention toute à ta charge et toute à mon profit, que j’observerai tant qu’il me plaira, et que tu observeras tant qu’il me plaira.»
Pour aller plsu loin, on peut se voir dans ce chapitre sur l’esclavage ue réflexion politique, sur la souveraineté. Grotius cité au début de l’extrait fonde le pouvoir politique sur la légitimité de l’esclavage qu’il a démontré parle droit de tuer. « un particulier, dit Grotius, peut aliéner sa liberté & se rendre esclave d’un maitre, pourquoi tout un peuple ne pourroit-il pas aliéner la sienne & se rendre sujet d’un roi ? » l’esclave se soumet au maitre pour survivre, le peuple pourrait en faire autant, non pas pour sa subsistance matériel puisque c’est lui qui subvient au besoin du roi mais parce que el royaume leurs assurent une sécurité contre les invasions ennemis. Pour Rousseau il s’agit là d’absurdité puisque le peuple se bat pour le roi, c’est lui qui porte ses armes et sacrifie sa vie. Se soumettre à la monarchie serait odonc, comme pour l’esclavage , un echange gratuit, inique et ce serait donc à la fois un acte nul et à la fois prendre le peuple pour un fou. Ainsi on retourne bien ici l’idée évoque au début selon laquelle la souveraineté appartient au peuple et en aucun cas il ne s’y soumet en lui donnant intégrélemtn s liberté.
Bonjour
Est-il possible de déterminer le temps de lecture d’un PDF téléchargé suite à un envoi d’un mail ?
Merci